Astéride { Etoile du Triangle Australe }

Nom: Aërin

Prénom: Astéride

Surnom: Ash' ou Tri.

Age: 30 ans

Date de naissance: 4 janvier de l'An 232

Statut: Roturier

Métier: Bookmaker

Lieu de naissance: La rue

Lieu de résidence: Les Immeubles.

Lieu de travail: Une petite boutique de pari qui a pignon sur rue.

Emplacement de la Marque: Dans le dos, a cheval sur la colonne vertébrale.

Constellation protectrice: Triangle Australe

Pouvoir Astral: Triangle d'Illusions, ramification : Projection de triangle illusoire.

Caractère:

Seth dors dans son regard, Aphrodite a élut domicile dans son attitude, mais Odin règne en son âme. Un mélange détonnant, force et fragilitée mêlée pour atteindre la perfection. Mais la perfectionn'existe pas, la perfection se teinte de flammes mortelles. Impulsivité vainement tempérée par la sagesse. La vie doit être vécue, intensement, sans jamais perdre de vue son déclin. Seulement le but la porte, idéal qui l'étreint. Elle y croit, encore, toujours. La houle de son esprit roule sur les obstacles. Raz de marée inébranlable, nuls barrages ne pourrait la stopper lorsqu'elle entreprends. Malgré tout, l'anémone est fragile, hérissée de piques acerbes. La confiance est rude, l'amitié est de granit. Elle a signé de son sang son engagement, s'en détourner est impossible. Elle veut y croire, elle y croit. Croyance utopique ? Non, non, ne dites pas cela, vous ne savez pas....

Physique:

Le ciel est mouvant, les nuages le parcourent de part en part. La nuit a coulée de son essence au fond des yeux de cette femme. Une teinte étrange, oscillant entre le noir et le bleu le plus profond, la profondeur de ses blessures s'ouvrent et se verse par ses orbes, véritable miroir de ce qu'elle est. Le soleil, depuis longtemps disparut, astre magnifique d'or, de chaleur a versé des larmes dans sa chevelure. Eau de tristesse qui teinte le satin d'un or profond, vagues emmelées, dissonance des couleurs, elle arbore une crinière sauvage qui ne supporte pas de maîtres. Vagues soyeuses qui supporte la coquille de nacre de Vénus elle même.

Le visage est expréssif, mais le masque se meut, belle ? Peut être, intriguante certainement. Ce genre de beauté qui laisse une étrange impression d'irréel. Sombres oscillements lorsqu'elle se déplace, force et grâce mariées dans une union éthérée. La faiblesse se pare de force. Illusion dont elle use, sans même le savoir. Courbes et déliés unit en harmonie, matinées de souplesse et de duretée. Une liane qui s'étire mais ne romp jamais.

Signe particulier: Mise a part la marque de l'Etoile, rien.

Histoire: (En construction, mp envoyé a Andréa ^^)

Histoire:

La rue. La rue, son domaine, son territoire. La rue lui ouvrit les bras a la naissance. Naissance pauvre, naissance difficile, des hurlements de douleurs qui restèrent gravés dans le béton, le chant de victoire d'un nouveau né qui s'ouvre à la vie. Battante, Walkyrie a peine éclose mais déjà on sentait la volonté qui l'animait. Volonté primaire, celle de vivre, celle de grandir. Mais la malediction se jeta telle une louve affamée sur le petit corps frémissant, elle se logea sur sa peau, dans sa chair, là, sur le dos. Etalant ses branches de sacrifice, arborant la couleur du maudit. L'Etoile. La mère pousse un cri d'horreur face aux yeux avide de la terreur. Elle a mit au monde un être voué a la torture. Sa vie ne sera que fuite et dissimulation. Marquée des étoiles, sa fille sera a jamais poursuivie. la mère prends peur, elle connait l'avidité des hommes, elle sait, elle a lut de vieux livres. Le passé, le passé des Etoiles est entaché de sang, de convoitise, les Etoiles mortes au nom d'un rêve, un rêve qui parfois se voile de cauchemar. Cette enfant, son coeur, elle ne doit pas mourir. Alors la mère peint la marque. Elle est pauvre, elle n'a rien, elle n'a que sa fille. Sa fille est un ange marquée par le ciel, sa fille est maudite...

Vie de errances, vie cachée, vie misérable. Mais la fougue reste présente chez cette enfant qui grandit, bravant les déchéances, évitant les pièges d'une rue cruelle pour ses vagabonds. Elle grandit avalée par la vie rude qui est la sienne, par le secret qui la ronge comme cette étoile qui s'est greffée sur son dos. Elle ne sait pas ce que cela veut dire, elle sait juste qu'elle doit la cacher, ne jamais la montrer. Fillette sauvage qui vole pour manger, qui remplit les placards vide et fait renaitre le sourire sur le visage fatigué de sa mère. Femme de ménage, celle ci salive parfois devant la magnificience des habitations noble, mais l'honnêté est en elle, alors pour ne pas mourir de faim, elle ferme les yeux lorsque sa fille reviens les bras chargés de nourriture. Elle aime sa fille, elle est tout ce qu'elle possède en ce monde de ténèbres. Elle tremble pour elle alors qu'une à une les Etoiles sont capturées, enfermées et finissent par mourir, un Voeux arraché. Mais Astéride reste inssaisissable, apprenant les règles de la Rue, la loi du plus fort, elle apprends a mordre, fort et rapidement. La faiblesse c'est la mort assurée, elle se pare d'ivoire et deviens de fer.

Anaël.

Un prénom qui évoque un jeune garçon, le regard trop lumineux, le sourire trop serein. Elle le hait, elle hait son assurance, elle hait sa mise...Et pourtant il s'immisce, il fendille sa carapace faite de violence, elle le hait pour ça. Il ne connait pas la rue, elle doit être violence, rage et passion pour survivre, lui....Lui est trop tendre, trop doux. Il a 6 ans, elle a 5 ans. Elle est sauvage, il est calme. Ils n'ont rien a faire ensemble. Alors pourquoi se dresse-t-il en rempart face a la petite bande d'ado qui la brusque ? Il ne comprends pas ! Il doit s'en aller, elle est forte, il pointe du doigt sa faiblesse. Les larmes de rage montent aux yeux sombres, elle veut le mordre lui, eux. Elle n'es pas faible ! Elle sait se défendre, elle n'a besoin de personne ! Personne ! Surtout pas d'un bouclier aussi blafard qu'elle ! Et pourtant, il attaque, il attaque pour le respect d'une fillette qu'il ne connait pas. Justice ? Il sait peut être ce que c'est. Mais la Justice est utopique, seule, elle doit restée seule. Il mets en fuite et le petit chat sauvage se rebiffe. Alors que les mots de remerciements devraient couler de sa bouche, elle crache et invective, insulte, rancoeurs dont il n'est pas le responsable. Il est le receptacle de ses haines, de ses larmes, de ses ires. Il se tait. Il ne dit rien. Pas encore et soudain... Elle découvre que la douceur n'est que façade, que les griffes sont présentes, qu'elles lacèrent avec autant de rapidité que les siennes. Les piques pleuvent, blèssent, ouvrent des plaies. Froideur révélée que ce visage qui se fige, l'éclat inquisiteur des yeux noirs la transperce alors qu'il l'abreuve d'agonie. Le respect nait de l'affrontement. La sauvageonne ouvre les yeux et arrache le voile qui la cache depuis si longtemps. Elle fuit.

Pourtant, ça se noue, ça se lie doucement, surement. Il écoute, elle pleure. Elle lui en veut, colère étrange parfois alors qu'elle deviens vipère lorsqu'il tente de comprendre sa vie. Il contre, il est fier, presque autant qu'elle. Elle l'aime malgré tout, un frère qu'elle n'aura jamais. Un ami alors qu'elle ne connait pas ce mot. Ami, ennemi, il est tout cela et plus encore, mais elle se refuse a se laisser apprivoiser. Affrontements teintés de tendresse, elle a besoin de lui et elle le hait pour cette dépendance. Elle pleurera sa perte alors que la vie les sépare. Elle a toujours sut que ce n'était qu'un rêve au milieu du cauchemar, elle griffe pour cacher le déchirement, mais il n'est pas dupe, il sait, il la connait. La petite tigresse comme il la nomme, petite tigresse qui n'aime pas ce nom mais qui l'accepte parce que c'est lui. Il part, il s'enfonce dans les brumes de ses souvenirs, images matinées de floues encore si vivaces parfois. Mais la rue la rattrape, elle se jette dans la bataille.

Sîn.

La femme deviens maitresse alors que sa mère meurt. Libre, sauvage, elle regarde les siens se perdre, elle voit la Plèbe avallie. Elle rêve d'un monde a eux, où ils n'auraient pas a craindre la soif des désirs d'autrui. Cette terre n'est pas pour eux, non, Tsel n'est pas leur havre. Il est quelque part, ailleurs. Ils doivent partir et la trouver, leur Eden, leur Terre d'asile. Le troupeau doit se réunir, ensemble, ils doivent quitter cette terre aride de compassion. Femme de poigne, son regard se teinte de froideur, sa voix de passion lorsqu'elle réunit, lorsqu'elle argue sa foi. Elle étends son pouvoir, ses croyances sur la rue, elle y règne, elle prépare leur départ. Elle est Sîn. Astéride de l'ombre, femme dont peu connaissent le visage, elle est l'âme de Sîn, enfant né de sa volonté, création de l'Etoile du Triangle Australe. Don astral qu'elle découvre en sommeil, qu'elle domine et apprivoise doucement au fil du temps. Mais le Triangle est seule, trop peut être pour le poids de ses épaules. L'horreur la rattrappe, la chasse commence, recommence, elle pleure des larmes de sang...Plus que jamais, ils leurs fallait partir !

Andréa

Voyageur. Etrange silhouette voilée qui l'approche. Il est sage, elle le sent. Pourquoi l'écoute-t-elle ? Pourquoi cet écho dans sa voix, écho de sa volonté. Sagesse, oui, il est sage cet homme qui l'approche, qui murmure a ses oreilles. Puissance sereine, il éblouït, ils ne sont plus seuls. La confiance qui nait du temps éclos au yeux d'encres. Astéride sourit. Sîn s'allie. Elle respecte cette force, elle respecte cette foi, elle ressent la même chose. Un guide, ils en ont tellement besoin, il sera celui là. Le Guide, leur Guide, l'Ancien, survivant des Treize.


Ajourd'hui, l'heure est proche. Ils doivent bientôt agir et il le feront avec force. Bientôt cette terre si attendue leur ouvrira les bras. Le Guide saura...

Courgette validée

owééé ^____^ L'équipe des Courges du Potager est dans la plaaaace

Jte l'ai déjà dit mais je le redis là quand même : j'adore la façon dont tu as écrit ton histoire ^,^

Missi Chef