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 Cyanure

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Cyanure
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MessageSujet: Cyanure   Cyanure Icon_minitime23.10.07 22:36




Nom : Voodoo

Prénom : Cyanure
Age : 27

Date de naissance : 13 avril 234

Statut : Roturière

Métier : Chasseuse d’Etoile

Lieu de naissance : Basse-Ville
Lieu de résidence : Dortoirs en tout genre
Lieu de travail : Quartier de la Milice



Caractère

« Tu dis que je « chasse » les gens sous des prétextes idiots.
Tu dis que je suis aveugle et qu’ils m’utilisent.Tu dis que ce que je cherche, je ne le connais pas.

Tu dis que mon nom ne fait que refléter ma noirceur de cœur.
Que je n’ai aucune pitié.

Que je suis la chienne de mes maîtres, et que je me lance sur les os que parfois ils daignent me lancer.

Et que je suis la plus basse des « salopes » et la plus froide des machines, que mon cerveau est un système défectueux et que je réagis comme un vulgaire Elef aux ordres de mes supérieurs.

Tu dis beaucoup de choses dans mon dos, frère ; mais toi qui me connais si bien, tu devrais savoir que je ne joue jamais une seule face de la pièce. Ni pile, ni face, ou alors les deux ; tout et son contraire ; tu sais que je ne suis pas de ces fillettes timides et rougissantes et que je me comporte comme un homme, avec fierté.

Frangin, il t’es jamais venu à l’idée que si je chassais les humains comme j’aurais pu chasser des animaux, c’était sûrement parce qu’ils ne valaient pas plus ni moins qu’eux ?

Je déteste les Hommes.
Pourquoi tu t’étonnes comme ça ?

Oui, bien sûr que je t’aime frère ; ce n’est pas à toi que j’en veux. Tu as toujours essayé de faire bien, je ne t’en veux pas. Moi je n’ai même jamais essayé.
Non, je n’ai pas besoin de bras autour de moi. J’ai pas besoin de tes cris et de tes larmes, je n’ai pas besoin de chaleur. Ne pense pas que j’ai besoin de quoi que ce soit.

A part eux. Mes maîtres, comme tu les appelles si bien ; ils m’ont donné plus que ce monde avait à m’offrir. Ils m’ont donné plus de liberté que tu pourras avoir un jour.

Oui, je m’appelle Cyanure, et oui je ne suis qu’un venin mortel dans la machine de la société, mais tu l’es aussi mon frère. Nous ne jouons tout simplement pas dans les mêmes cours…

Oui, c’est vrai, je parle comme une Noble alors que je ne suis que leur instrument. Mais pense-y mon frère : je ne peux pas laisser des virus humains vivrent dans MA ville, je ne peux pas les laisser tuer des gens.

Je ne les laisserai pas faire, que ce soit faux ou non.
C’est vrai que je ne me pose pas beaucoup de question. Pourquoi je le ferai ? Je sais très bien que les réponses risquent d’être trop dangereuses.
J’aime préparer mon terrain avant l’attaque.

Et je ne veux pas trahir l’Enkidu. Je ne veux plus trahir personne. Ils sont ma nouvelle famille, tu comprends.
Non, je n’abandonne pas la Basse Ville. Je suis née là-bas, je ne blesserai jamais ma cité, je ne profiterai pas de la faiblesse.

Mais je resterai sans pitié, comprends-le, frère.
Contre quoi veux-tu te rebeller ?
Ecoute-moi.

Parce que je sais que tout le monde m’écoute, je sais que tu ne pourras pas t’empêcher de m’entendre toi aussi.

Réfléchis.

Notre Cité, tu ne fais que l’affaiblir avec tes tours de passe-passe ridicule. Tu te glorifies de voler, alors que je suis capable de faire mieux que toi à ce petit jeu. Mais mets-toi quelque chose dans le crâne : jamais, jamais je ne laisserai tomber ma Cité.

Tu me dis qu’un jour ou l’autre je changerai d’avis. Parce que je ne suis jamais arrivée à tenir une résolution, je suis trop menteuse pour ça.

J’ai grandi mon frère. Je connais la lumière et la nuit, le blanc et le noir.
J’ai choisi de ne pas y rester et de suivre le gris, de suivre le crépuscule. Jusqu’aux étoiles.
Il n’y a pas de Cyan dans le ciel, il n’y a pas de Soleil le matin quand tu sors de tes rêves.
Pourquoi serais-je différente ?

Je suis ma Cité. Pas une machine.

Je suis juste humaine, que ça te plaise ou non. »

Cyanure s’arrêta soudainement d’écrire, agacée. Pourquoi essayait-elle de lui parler, de lui expliquer quelque chose ? Il ne comprendrait pas. Peu de gens comprenaient Cyanure, elle-même ne se démêlait pas vraiment. Elle préférait vivre que de comprendre pourquoi elle vivait.

Elle savait bien qu’elle était plutôt rusée, et qu’elle savait jouer de persuasion et faire preuve d’intelligence. Mais elle savait très bien aussi que le jour où elle crèverait, elle regretterait sûrement assez de choses pour ne pas vouloir en plus se demander ce qu’elle aurait pu faire si elle n’avait pas gâché son temps à philosopher sur des sujets dont personne ne trouvait jamais les réponses.


Les jambes sur le bureau, elle regarda encore une fois le papier. Elle n’aimait pas revenir sur le passé. Ça lui faisait perdre trop de temps.

Elle froissa le papier rapidement et le jeta au feu.

Elle aimait l’odeur du feu et la fumée était si belle. Plus belle que n’importe laquelle des tentatives d’excuses qu’on pourrait jamais inventer.


Physique

Cyanure.

Cyanure toute sombre, toute pâle, toute fade dans ce monde tout aussi sombre et gris.
Un dégradé de couleurs effacées.

Avant, on la surnommait « Panthère Noire. » Personne ne savait ce que c’était, une panthère. Mais ils trouvaient le nom joli. Ils trouvaient que le mot noir correspondait assez bien.
S’ils avaient su à quoi l’animal ressemblait, ils seraient sans doute fiers de leur trouvaille.

Oui, Cyanure avait une allure féline. Très grande pour une femme, atteignant facilement les mètres 78, sa musculature soigneusement entretenue ronronnait calmement, et elle se déplaçait toujours discrètement, perpétuellement en chasse de quelque chose, cherchant sans fin de ses yeux un détail qu’elle avalerait, se tenant toujours trop proche des gens qui lui parlaient, frôlant l’indécence sans le paraître, parce qu’elle était toujours camouflée, toujours absente en étant là, elle était aussi sombre que les immenses rues de la Basse-Ville, pareille à une nuit sans étoiles. Elle était enroulée dans ce linceul de grisaille, un reflet amer du ciel, un contraste idéal à la lumière.

La Nature l’avait comme crée pour qu’elle joue ce rôle de contraste.

Sa peau était sombre, sa bouche était fine et dessinait habilement les sourires les plus amusés, sa chevelure noire ondulait autour de son corps, ses hautes bottes claquaient silencieusement sur le sol, ses mains délicates et longues étaient recouvertes de gants de couleur foncée, un court blouson d’une couleur indéfinie mais probablement noir enserrait son torse…non, pas de couleur vives chez elle, il n’y avait pas de soleil à Tsel et ce n’était pas Cyanure qui allait l’allumer dans le cœur des citoyens.[/color]

Tout chez elle paraissait noire, soyeux, ombrageux, et elle aurait pu s’habiller de jaune qu’on aurait encore réussi à trouver qu’elle se fondait trop dans le noir. Elle était en quelque sorte « une aspiratrice de couleur. »

Même son visage ne correspondait pas. Il aurait dû être blanc, il aurait dû être pâle, mais il était d’un mat étrange qui le faisait se fondre en douceur dans la cascade d’ébène qui s’enroulait autour de lui. Il ne se démarquait pas plus que Cyanure.

Il y avait quelque chose pourtant qui attirait l’attention. Quelque chose qui n’était pas noir, au contraire.
Un doux émeraude, très clair, un regard de velours sous des longs cils noirs presque artificiels.

Une touche moqueuse d’un artiste quelconque sur le visage de Cyanure.

Un artiste qui avait dû se dire qu’il serait drôle de donner à cette silhouette indéfinissable et floue quelque chose de bien particulier qui n’avait pas sa place.

Un regard voluptueux, très doux et léger, pas du genre à se poser lourdement sur les gens en les foudroyant du regard. Un regard enfantin, innocent, pas celui d’une panthère, mais celui d’une enfant joyeuse qui sait que, quelque part, sa mère l’attend pour l’embrasser.
Et c’était ce regard qui en même temps faisait paraître le reste de l’apparence de Cyanure fade et floue.

Oui, l’artiste qui avait décidé de se mêler au physique de la femme était quelqu’un de très cruel.


Signe Particulier : Aucun



Dernière édition par le 23.10.07 22:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Cyanure   Cyanure Icon_minitime23.10.07 22:39

Histoire
Cyanure reprit un nouveau parchemin et s’arrêta quelques secondes. Elle allait essayer, encore une fois, de Lui expliquer.
Bien sûr, elle savait comment ça allait finir : le papier finirait rejoindre ses défunts compagnons dans le feu, et il n’en resterait que quelques cendres.
Mais elle voulait essayer d’expliquer, de comprendre. Ne serait-ce que pour savoir pourquoi elle en était arrivée là.
Les premiers mots se dessinèrent lentement. Et le reste s’enchaîna sans difficultés.
« Tu te rappelles quand on était petits ?
Nos parents, tous deux aussi tarés l’un que l’autre, nos amis, qui ne comprenaient jamais rien, nos ennemis, qui nous cherchaient toujours des problèmes, nos amours aussi, qui nous ont souvent séparés…
S’il te plaît, fais un effort pour moi…
Je me rappelle tellement bien. Nous étions toujours très liés. Toi et moi, les jumeaux des rues, des têtes brûlées qui ne réfléchissaient pas plus loin que leur nez et qui se mêlaient de tout ce qui ne les regardaient pas.
On a grandi ensemble, je ne me rappelle pas de m’être séparée de toi à n’importe quel moment.
Toi et moi, moi et toi, et personne d’autre. Les autres gamines se moquaient de moi, je ne sais pas si tu te rappelles. Parce que j’étais une fille, et que je jouais à des jeux de garçon, que j’aimais me bagarrer et que j’étais grande. Aucune fille ne m’aimait. Les copains, c’était différent. Ils trouvaient ça drôle, et pour jouer à cache-cache ils ne se mettaient jamais contre moi.
J’ai toujours eu le don pour chasser les autres en cachette. C’était le seul que j’avais.
Tous les deux, avant, on voulait devenir Noble. On rêvait de leurs grandes maisons, on rêvait de l’enfance qu’eux devaient avoir, et petit à petit, l’envie s’est transformée en jalousie, la jalousie en colère.
On voulait notre vengeance. Parce que ces fils de bourges avaient droit au bonheur, parce qu’ils étaient supérieurs à nous, nous on voulait les descendre et les traîner dans la boue, dans notre boue, on voulait les faire souffrir pour toutes les larmes sur le visage de Maman, on s’était juré qu’on ferait tout, absolument tout pour qu’un jour ils ne soient plus qu’un mauvais souvenir.
Nous étions animés par cette haine commune. C’était notre but, notre destinée.
C’était à cause d’eux que Papa nous frappait le soir, c’était à cause d’eux que la Milice nous frappait le matin, c’était à cause d’eux que nous devons sans cesse courir, nous cacher, s’enfuir et vivre comme des ombres, à peine plus qu’une poussière sous leur semelles.
Si tu te poses la question, je n’ai jamais fait semblant de les haïr.
J’aurais tellement espéré, tu sais, qu’on puisse faire sauter cette ville, qu’on puisse anéantir leurs petites vies luxueuses aussi facilement qu’ils le faisaient avec les nôtres…
Je leur en voulais tellement. Pour ça, bien sûr, mais aussi pour quelque chose de beaucoup, beaucoup plus important, que toi tu ne comprenais pas.
Je les détestai parce que je savais bien qu’ils se moquaient de nos colères et nos haines, parce que contrairement à ce que nous pensions ils ne se terraient pas dans des grands châteaux pour fuir notre juste colère…ils vivaient, comme toi et moi, comme tous les autres, et cette idée je ne pouvais pas la supporter, je ne pouvais pas supporter que je ne sois même pas une ennemie reconnue à leurs yeux.
On ne valait rien. Même pas la peine de nous achever proprement.
Cette idée m’a toujours rongée. Et puis il y a eu Amanda.
Tu ne l’as jamais aimé, je sais. Tu étais jaloux d’elle.
Elle était mon amante, et jamais je ne l’oublierai. Elle te détestait, tu la haïssais aussi.
En général, tu détestais toutes mes conquêtes, féminines ou masculines, et tu m’en voulais toujours terriblement de ne pas te donner toute mon attention. Parce que tu prenais nos relations incestueuses pour du sérieux.
Nous avons toujours tout partagé. Et tu ne voulais pas admette l’idée que je puisse avoir besoin de quelqu’un d’autre que toi.
C’était toi qui avais besoin de moi. Tu venais me chercher pour rester à côté de moi, tu te débrouillais pour pourrir mes relations d’une façon ou d’autre.
Amanda était une rivale trop importante pour toi. J’étais jeune et toi aussi ; je dois t’avouer que je me suis toujours demandé si ce n’était pas toi qui l’avais empoisonné.
Parce que je l’aimais.
Quand Amanda est morte à cause de cette étrange maladie, ça m’a bouleversé. Et toi tu m’a rejeté, m’en voulant toujours de ne pas avoir prêté plus attention à toi. C’était ta vengeance personnelle.
Comment est-ce que tu voulais que je m’en sorte sans toi ? Comment as-tu pu imaginé une seconde que j’arriverai à trouver ma force sans tes bras autour de moi ?
Qu’est-ce qui t’as pris ce jour-là de me chasser ? Tu t’imaginais quoi ? Que j’allais ramper devant toi en pleurant pour que tu me pardonnes ?
J’en ai rien à faire de ce que tu as pu pensé, et je me fous complètement de tes excuses. Je ne te pardonnerai jamais de m’avoir abandonné comme ça, attendant quoi ? Que je crève ?
Et puis j’ai changé. J’ai commencé à me dire que, finalement, les Nobles et nous, le simple peuple, nous étions tous des monstres à notre manière.
Le pire pour moi c’était de te voir t’enfoncer petit à petit dans cette folie de rébellion, de te voir abandonner nos parents, de te voir tout laisser autour de toi pour satisfaire ton ego de pseudo voleur pseudo rebelle. Tu ne faisais rien pour aider les autres, j’ai dû m’en charger seule.
Qu’est-ce que j’ai fait pendant ces quelques années ? J’ai dépéri, j’ai fanée. J’errais comme toujours dans les rues de ma ville, et je me sentais emprisonnée. Personne ne me remarquait plus, personne ne me voyait plus. C’était comme si sans toi j’étais devenue invisible.
C’était tellement dur d’être ignorée par ses frères et sœurs, ses compagnons, sa famille…c’était trop dur de vous voir détruire vos vies petit à petit…
Tellement dur de se rappeler d’Amanda qui étouffait seule...Je ne t’ai jamais raconté la nuit que j’ai passé avec elle, avant sa mort…
Elle toussait, crachait du sang, et moi je la regardai en sachant très bien qu’elle allait mourir, que les virus l’avaient détruite, que personne, personne viendrait la sauver, je l’ai juste vu mourir, la bouche ouverte, en souffrant, et je ne ressentais même pas la souffrance en moi, j’étais incapable de penser à elle, je tenais ses mains pleines de sueurs et je pensais à toi…elle est morte, et je n’ai même pas fait attention…
Et puis je me suis tournée vers l’Enkidu…Je voulais te prouver que j’étais forte même sans toi, que j’avais du talent, je voulais te sauver du danger dans quoi tu t’enfonçais, tu devenais un danger pour la Cité, au même titre que les Nobles qu’on détestait auparavant, et rappelle-toi notre serment, rappelle-toi qu’on s’était jurée qu’un jour on les aurait tous, je ne pouvais pas la tenir cette promesse, pas maintenant que tu faisais partie des créatures que je détestais tellement…
On s’est tous les deux mentis…
J’ai suivi ma formation…
Je suis devenue ce que je suis, j’ai su me passer de toi, j’ai su te surpasser complètement frère, tu ne peux pas le dénier…
Une Chasseuse. Il est beau ce nom non ? Moi il me plaît.
Pourtant quand je retournai dans la Basse Ville je voyais les regards changeaient. Je voyais le visage de mes anciens amis se transformaient quand j’arrivai, je les voyais devenir méfiants, je te voyais me traiter si mal…
Je suis désolée si je t’ai fait mal. Mais il faut que tu comprennes que maintenant je n’ai plus rien à voir avec ta sœur d’antan. Et que je ne te pardonnerai pas si facilement.
Et puis il y a eu notre dernière rencontre. Tu avais tellement grandi, j’avais tellement changé. Moi la chasseuse, toi une proie inutile.
Quand je t’ai frappé ce jour-là ce n’était pas pour te tuer.
Jamais, non jamais je ne pourrais t’éteindre si facilement, mais tu étais si faible entre mes doigts, et moi j’ai toujours supporter tes jalousies et tes envies, j’ai toujours su t’aider quand les gamins s’attaquaient à toi, je t’ai toujours poussé à te révolter et à détester les Nobles, j’imaginais que je pourrai te faire comprendre que tu avais fait un mauvais choix, mais tu n’as rien compris, tu voulais que je m’excuse…
M’excuser de quoi ? Qu’est-ce que je t’ai détesté à ce moment-là…
Je me rappelle très bien de t’avoir frappé encore et encore.
Tu l’avais mérité.
Je voulais juste que tu me comprennes frère...pourquoi tu en as toujours était incapable ?
Peut-être que tu es mort maintenant. Je ne sais pas, je n’ai pas vérifié en partant, j’étais tellement en colère.
Ou peut-être que tu es vivant et que tu t’es enfoncé dans ta haine aveugle.
Je voulais juste demander pardon. Pour tous mes péchés…
Parce que je sais très bien qu’encore une fois ce papier tu ne le verras jamais et que jamais personne ne verra cette faiblesse… »
Les derniers mots se consumèrent doucement dans les flammes, ne laissant plus qu'eux qu'un large tapis de cendres et de suie.
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MessageSujet: Re: Cyanure   Cyanure Icon_minitime24.10.07 11:43

Je t'ai pas vu passer par les demandes de rôles, mais c'est pas grave What a Face

Super fiche, tu as bien assimilé le contexte et youhou t'es une chasseuse mrs moomin

Fiche validée
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MessageSujet: Re: Cyanure   Cyanure Icon_minitime

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