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 Alice, bel et triste astre

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MessageSujet: Alice, bel et triste astre   Alice, bel et triste astre Icon_minitime27.10.07 19:21

Nom : Nordenskjöld
Prénom : Pforzheim Alyscamps
Surnom : Alice, Lys, prozac
Age : 31 étés
Date de naissance : Un 17 août, en 230
Statut : Roturier
Métier : Gérant de l'orphelinat
Lieu de naissance : Dans la ville basse, à la clinique médicale
Lieu de résidence : L'orphelinat
Lieu de travail : L'orphelinat...

Emplacement de la marque : Sur le palais (dans la bouche quoi)
Constellation protectrice : La lyre
Pouvoir astral : Maîtrise des sons. Il peut les amplifier, mais leur puissance dépend des sentiment qu'il éprouve. Plus ils sont forts, plus le bruit est inaudible.

Caractère : Et quel caractère ! Non pas qu’il soit mauvais, loin de là, car par sa douceur il dépasse bien des gens. Oui, Alice est un être doux sans pour autant être mielleux. Les colères sont si rares chez lui que quand elles surviennent, tout le monde est surprit par leur puissance dévastatrice. Bien sûr, il a un minimum d’autorité naturelle, et si le besoin de la rendre un peu plus forte se fait sentir, Alice n’hésite pas à élever subtilement sa voix, qui à l’état normal, est déjà caverneuse et grave, rendant sa voix plus terrifiante que le tonnerre quand il s’emporte.

Mais rien ne sert de s’étaler sur ce côté noir du caractère de l’individu, car rarement il remonte à la surface. Parlons de l’homme que l’on appelle Mr. Nordenskjöld pour les affaires, ou Alice pour les intimes et prozac ou d’autres sobriquets derrière son dos. C’est un être calme qui n’élève que rarement la voix. Certains l’aiment pour son pragmatisme, d’autre pour son caractère pied à terre, ou d’autre pour tout simplement sa gentillesse. Jamais il ne montre une faiblesse, jamais il ne se plaint. Alice est droit comme la justice, d’un naturel enjoué qui contamine tous ses proches. Et il sait pardonner. D’ailleurs, cela doit être son plus grand défaut. Alice pardonne tout, absolument tout, peu importe le temps qui passe. Pourtant, jamais il n’oublie le tort qu’on lui fait, hypermnémique oblige. Savant sage et plein de ressource, sa place se trouve dans son bureau la plupart du temps. Passionné des arts, Alice, en plus d’avoir un grand cœur, est aimé par les muses. Il danse, peint, écrit, chante, pour lui, pour les autres. On l’apprécie donc d’autant plus pour sa modestie, car avec autant de talent, il aurait pu se montre d’un orgueil démesuré. On l’aime pour sa simplicité, son rire facile. Alice est agréable avec tous, et surtout avec les enfants, ce qui lui a permit de prendre le relais aux rennes de l’orphelinat à la suite de ses parents. Certains s’irritent facilement envers ces jeunes êtres turbulents, qui crient et courent dans tous les sens, mais lui ne fait que s’en réjouir de les voir plein d’énergie, et il aime les voir s’amuser avec les objets étrange qu’il entrepose dans son bureau et jamais ne s’énerve qu’ils cassent quelque chose ou salissent les murs avec leurs doigts sales.

Mais cette jolie couverture cache un cœur peiné. Peiné d’être seul alors qu’il y a tant de gens autour de lui. Souvent l’on se confie à lui, mais jamais il ne se confie. C’est un être plein de secrets qui le rongent de l’intérieur, et si certains le surnomment prozac, ce n’est pas pour rien. Alice à beau essayer de camoufler qu’il suit un traitement contre la dépression, bien du monde a percé à jour son penchant pour la mélancolie. Et personne ne peut l’aider, parce que personne ne sait de quoi il s’agit. Il s’agit d’un poids pesant sur ses épaules. La mort de ses proches, le fait d’être une étoile et donc en danger, ou alors rien que les misères quotidiennes. Mais Alice tient bon, persévère, reste souriant et ne pleure que en silence, ne montrant rien de son trouble, de peut que ceux qui l’entourent ne soient eux aussi prit dans sa misère grise. C’est un esprit fort d’après ce que dit bien du monde, mais si faible et pauvre en fait…

Physique : C’est un jeune adulte, pourtant il ne le parait pas. Sa peau lisse, au hale léger, contraste avec ses cheveux épais d’un blond des blés, un doux mordoré que l’on rencontre si peu. Ils lui arrivent environ aux omoplates, mais Alice se plait à les attacher que ce soit en un rapide catogan ou en un chignon élaboré, aussi est-il rare de les voir cascader sur ses épaules. Etrange, un épi qui part de son front et va jusqu’à sa nuque hérisse une bande de cheveux, à la manière d’une crête, et le jeune homme à abandonné la bataille d’un jour la discipliner. Sous les quelques mèches qui lui servent de frange, deux yeux en amande, d’un gris pâle, brillent sous de fins sourcils blonds si haut qu’il a l’air toujours surprit. Mais revenons à ses yeux, si merveilleux que l’on ose à peine les croiser. D’une profondeur à donner le vertige, d’un éclat à la pureté de diamant. Un regard charmeur dans lequel on se plait à y plonger, quitte à perdre pied et à s’y noyer. S’ensuit un long nez, légèrement cassé créant ainsi une bosse que l’on ne remarque pas au premier regard, le tout tacheté de taches de rousseurs indécelables sauf si l’on colle son visage au sien. Vient sa bouche, entourée d’une mâchoire carrée aux pommettes saillantes, large et toujours souriante, aux lèvres bien dessinées, des lèvres qui sont à elles seules un appel aux baiser les plus fous. Des lèvres qui s’ouvrent sur de grandes dents d’un blanc ivoirien, bien alignées. Si jamais il s’amuse à vous tirer la langue, vous pourrez apercevoir un petit plateau, un piercing comme il en a tant. D’’ailleurs, revenons à ses oreilles pour ce détail. Vous constaterez d’abord qu’elles sont plutôt grande, et qu’il profite de ce détail pour les couvrir de boucles d’oreilles qui tintent quand il bouge la tête, une musique agréable et sensuelle.

Ce beau visage, plaisant à voir et à toucher est soutenu par un long cou à la pomme d’Adam protubérante, continué par des épaules masculines et fortes, larges et bien présente. L’implantation de son cou, à la base de son torse donne l’impression qu’Alice ne se tient jamais droit, sa tête étant toujours penchée en avant. Quoi qu’il en soit, si ses épaules sont larges et bien musclées, suivies de deux bras aux muscles secs et saillants, sa poitrine elle, est creuse malgré le fait qu’elle soit musclée et pas un poil n’y pousse, puis s’ensuit des abdominaux à peine esquissés, mais dur comme du fer. Son dos est souligné par une multitude de bosses, due à sa colonne vertébrale, sinueux serpent décrivant un chemin en « s » parfait, s’enfonçant dans une chute de rein mirobolante, à en donner des frissons, qui elle continue par des fesses rondes qui lui ont valut bien du succès envers les femmes. Ses jambes sont plutôt courtes, même si sa grande taille ne permet plus de dire cela, car sachez que cet individu mesure un bon deux mètre trente. Après ses hanches, dont l’étroitesse suit avec celle des épaules, et après ses jambes, vient les chevilles et les pieds. Les chevilles, osseuses, suivent parfaitement avec ses pieds, qui eux aussi laissent voir les os et les veines, sans que pour cela soit une vision d’horreur (l’horreur étant plutôt l’odeur de ses baskets après un jogging…). Ils sont longs et fins comme ses mains. Je n’ai pas décrit ses mains ? Je vais donc réparer cet oubli, car en plus d’être longues et fines, mais bien sûr elles aussi osseuses, elles sont d’une souplesse incroyable, et même si cela parait inconcevable, elles reflètent les émotions aussi bien qu’un visage, voir mieux car elles échappent au contrôle de la volonté. Aussi les tords-il quand il est gêné, les serre quand sa colère gronde, croise ses doigts quand il stresse. Elles parlent mieux que ses mots, trahissent ce que son visage parfois ne dit pas.

Signes particuliers : Une tache de vin sous la plante du pied gauche, il possède aussi un tatouage de serpent sur toute la partie haute de son dos, côté droit.

Histoire :

Citation :
Ma chère et douce amie Meredith, je ne puis continuer.

Voilà trois semaines que mon mari a disparu. Je ne sais ce qu’il est advenu, mais au fond de moi, je sens qu’il n’est plus de ce monde. Alyscamps ne fait que pleurer depuis que son père n’est plus là. Mais comment expliquer à un enfant de deux ans que son père ne reviendra plus ?

Je me sens lasse. Je sui prête à rejoindre mon époux, je n’ai plus le goût de vivre. Je te laisse donc mon enfant. Je sais que c’est lâche de l’abandonner ainsi, mais je n’ai plus de quoi le nourrir, étant mon aimée qui apportait de quoi survivre à la famille.

Je te laisse donc. Utpala, ton amie d’enfance.

PS : Alyscamps est une étoile. Ses pouvoirs ne se sont pas encore manifestés mais la marque bleue est bien là, sur son palais. Prends bien soin de lui et dis-lui que je l’aime.

Voilà comment Alyscamps arriva au foyer tenu par Madame et Monsieur Nordenskjöld. De suite ils l’adoptèrent, lui faisant porter à présent le prénom de Pforzheim, comme pour mettre fin à sa vie d’avant. Suite à l’abandon de sa mère, l’enfant rentra dans un long mutisme, avec l’impression d’avoir été oublié. Melaka –sa nouvelle mère- ne dénonça jamais à quiconque les étranges capacités du jeune enfant, à part à son mari, et Pforzheim n’en avait lui-même pas conscience.

Pforzheim accepta le fait que à présent il appartenait à la famille Nordenskjöld, qui se composait de deux sœurs aînées et d’une multitude d’orphelins avec lesquels il partageait ses jours et nuits, semaines, mois et années. Toutefois il resta sombre et distant, ne riant jamais, ne se lassant pas aller aux larmes. Un garçon froid et distant, qui n’ouvrait la bouche que pour dire des vilenies. Aussi très vite il devint la tête de turc des autres, et la seule personne à qui il tenait vraiment était Meredith. Avec elle, il souriait, riait parfois. Et la femme était étonnée par tant de savoir chez ce jeune enfant, qui ne dépassant pas les neuf ans, résonnait presque comme un adulte. Elle l’aida à grandir, s’épanouir. Il devint un adolescent robuste, de bonne taille mais restait d’un certain côté rachitique, nerveux et tombait souvent malade. Mais le pire, c’est qu’il restait détestable et devint de surcroît désinvolte.

Ce fut ainsi jusqu’à ce que Meredith meurt, de façon peu naturelle. C’est si facile de tuer quelqu’un dans une rue sombre, la nuit, lorsque personne ou presque ne sors… Pforzheim s’en souviendra toute sa vie. Sa protectrice était venue le chercher après son cours d’arts plastiques. Elle était vêtue d’un manteau blanc se soir là, et sa chevelure brune entourait son visage rond comme la Lune, éclairé par un sourire plein de malice. Les rues n’étaient pas très sûres, mais tout deux n’en avait que faire. L’adolescent voulut aller faire un tour à la foire. Ils y allèrent, et quand ils décidèrent de rentrer, il était bien tard. Depuis la mort de son mari, Meredith s’était de plus en plus rapprochée de Pforzheim, et tout deux finirent par tomber amoureux. Lui avait dix sept ans et elle en avait trente six. Tout deux filaient un amour heureux, jusqu’à ce que quelqu’un vienne semer la pagaille…

Un homme. Fauché. Pourtant il avait besoin d’argent. Que voulez vous, la drogue, ce n’est pas gratuit. Il aperçut le couple de tourtereaux, et n’hésita que brièvement. Il leur barra le passage. L’homme était plutôt grand, et sa peau basanée contrastait avec le blond de ses cheveux, alors que la femme, plus âgée, sursauta en voyant le junkie sortir de l’ombre, arme blanche à la main. Elle semblait plus faible que l’homme, aussi fut elle sa proie. Profitant de l’effet de surprise qu’il avait crée, il balance son arme vers la demoiselle. Touchée au ventre, elle s’écroule. Cette seconde parut être de longues minutes pour Pforzheim. Il lui faut un temps pour réagir. Elle heurte le sol. L’homme s’apprête à présent à le frapper, lui. Mais le poing du jeune homme va plus vite que l’arme du drogué, et le heurte de plein fouet. Il s’écroule, gémissant, alors que Pforzheim s’asseya près de sa sigisbée, mortellement touchée. Il ne peut plus crier, sa voix l’a quitté. Elle meurt donc entre ses bras. Son sang se répand sur son manteau de couleur neige, tâche les doigts de son patito. La vie la quitte, elle le regarde puis s’en va, sans avoir comprit ce qui lui était arrivé. Une demi-heure de lente agonie. Le junkie, lui, s’était enfui en rampant. Pforzheim s’en voudra toute sa vie de ne pas avoir réagi. Il aurait pu crier, appeler des secours. Mais il ne l’avait pas fait, en proie aux larmes et à la folle tristesse, son bon sens l’ayant quitté au moment où elle était tombée, flocon de neige sur le béton de la ville.

Il fallut deux ans à l’homme pour s’en remettre. Pour retrouver sa voix et oublier ne serais ce qu’un peu ce moment. C’est à ce moment là qu’il découvrit son incroyable don. Il voulait crier, mais sa voix ne sortait pas. Alors les sons devinrent plus forts, les vitres se fissurèrent. Ce fut la pagaille dans son quartier, ne serais ce que trois pauvres minutes. Il lui fallut du temps pour comprendre que c’était lui la cause de ce chahut impossible. Et encore, il n’en a que très peu conscience. Ce ne fut que sa fatigue à la suite de cet évènement et le fait qu’il ait été le seul à ne pas avoir les tympans qui vrillent le lendemain. Plusieurs fois il a réessayé de recréer un tel tintamarre, mais hélas, il n’y arrivait que rarement, et jamais aussi fort que la première fois. Il reprit ensuite l’orphelinat, étant le seul héritier qui voulait bien s’occuper de cet établissement, et se montra doux et sympathique, comme l’image que Meredith avait laissée en lui. Toujours souriant.
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MessageSujet: Re: Alice, bel et triste astre   Alice, bel et triste astre Icon_minitime27.10.07 20:38

Ah oui, Alice c'est bien Alice, bel et triste astre Devil-s3 pis c'est le prénom de ma soeur huhu

Fiche validée ^^ Bon jeu!
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MessageSujet: Re: Alice, bel et triste astre   Alice, bel et triste astre Icon_minitime28.10.07 11:33

Quoi le prénom de ta soeur ? è_é

Merci ! Niahahahaha, prêt à poster que je suis à présent...
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MessageSujet: Re: Alice, bel et triste astre   Alice, bel et triste astre Icon_minitime

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